vendredi 27 novembre 2015

Choisir d'aller de l'avant

Trop longtemps je n'arrivais pas à être heureuse, tss se sentir libre, ne pas avoir peur du regard des autres, être bien avec moi même, être heureuse un point c'est tout.  Je ne me sentais pas heureuse parce que j'attendais tout de tout le monde, mais en bout de ligne les attentes font souvent mal ou nous apporte notre lot de déception. Est-ce qu'on a vraiment besoin de plus de négatif?  Je n'étais pas heureuse parce que au fond je me cherchais intérieurement, je cherchais comment être bien, je cherchais comment aimer la vie, aimer la vie sans souci.

À une certaine époque, j'ai fait mes choix en fonction des autres et non en fonction de ce que mon instinct, mes tripes, mon cœur me disait de faire. Le problème c'est que souvent les choix que l'ont fait nous suivent en vieillissant. Attention je ne les regrette pas tous, mais si j'avais la chance de recommencer je ferais certaines choses différemment. On a tous une petite voix intérieure de nous qui nous dit: essaie ça, va par la, ne reste pas ici... tss la voix qui veut nous amener à nous dépasser, à faire confiance à nos feeling? Et bien moi, quand cette voix résonnait dans ma tête, je me bouchait les oreilles à deux mains.  Pourquoi? Probablement parce que je préférait le confort de mes pantoufles, le vide, l'inconnu sa fait peur de toute façon...peut-être que ma tête ni croyait pas et que mon cœur refusait de l'admettre.

À une certaine époque, je me sentais à ma place nulle part, je me demandais souvent si j'étais à la bonne place, peur de déranger, peur de prendre ma place qui me revenait.  Lire ici, un léger manque de confiance en moi, manque de confiance en le potentiel de ce que ma personne peut offrir. Aujourd'hui, il m'arrive encore de voir monter cette interrogation, mais contrairement à 10 ou 15 ans passés, j'ai compris que c'est moi seul qui s'impose cette prison et que la seule personne qui est maître de ma vie c'est moi et peut importe ce qui m'enchaîne et n’empêche d'avancer, seul moi en a les clefs.

Dans les derniers temps la vie m'a apportés son lot d'épreuves.  À partir de ce moment, je me suis retroussé les manches, j'ai fait du ménage autour de moi, j'ai fait des choix pour moi et surtout j'ai fait le choix d'être heureuse.  Je suis plus à l'écoute de ma petite voix intérieure tout simplement parce que plus souvent qu'autrement, cette voix a raison. Choisir d'être heureux dans la vie c'est assumer qui nous sommes, assumer nos choix, nos erreurs et surtout se pardonner.  La vie est beaucoup plus simple dans ma tête et dans mon cœur, tout n'est pas parfait, mais la vie n'a pas besoin d'être parfaite pour être belle! À l'aube de mes trente ans, je met dans mon baluchon mon bagage et je choisi d'aller de l'avant.

dimanche 22 novembre 2015

En bout de ligne

Quand il est parti, je n'y croyait pas.  Ce que je croyait être mon bonheur c'est arrêter.  Je croyais que tout allait bien, j'avais fait des sacrifices, beaucoup.  On essayait d'avoir un autre enfant, de créer un futur à notre famille.  Pour être avec lui, je me suis perdu moi-même, perdu mes objectifs de vue, mes rêves de petite fille.  Au fil du temps, l'habitude avait pris la place, on se prenais pour acquis, je prenais pour acquis qu'il serait toujours la, il était tous ce que je connaissais.  Et un peu maladroitement et au mauvais moment, il m'a laissé.  Il n'était plus sur qu'il m'aimait, il n'était plus sur de rien depuis trop longtemps.  Depuis longtemps, il se posait beaucoup de questions et pendant trop longtemps je lui demandais de fermer les yeux.  J'avais tord, tord parce que moi aussi j'étais malheureuse, je refusais simplement de me l'avouer.  Finalement qu'il me laisse, après toute la douleur et le vide que son départ à créé, c'était la la solution.

Et pourtant, plusieurs nuits à ne rien comprendre, à ne pas dormir et parfois, je l'avoue, à attendre qu'il change d'avis, que c'était impossible finalement que ce soit terminé.  Je me sentait tellement seule et c'était le cas, j'avais fait de toi, de nous notre famille mon univers.  Tous ce que je fesais et ce que j'avais fait comme choix, je les avait fait en fonction de toi.  Je devais apprendre à être seule, c'est ce qu'il me restait à apprendre.

Les mois ont passé, j'ai fini par comprendre et à être bien seule finalement.  Après réflexion sur la rupture, l'amour était trop fort, j'étais aveugle de ne pas voir.  J'ai compris qu'il fallait que je m'aime moi un million de fois plus fort.  Avec du recul, c'était vraiment la meilleure solution qu'il me laisse. Parce qu'en bout de ligne on ne vit pas pour l'autre, on vit d'abord pour soi. Qu'il me laisse m'a permis d'ouvrir les yeux sur une personne magnifique: MOI!

mercredi 18 novembre 2015

Missouri à la citrouille

Il vous reste encore de la purée de citrouille dans le congélateur?  Vous avez le goût d'un missouri qui ne goûte pas trop le chocolat et qui vous permet de goûter à l'automne?  Et bien la prochaine recette est pour vous.  J'ai trouvé cette recette sur la page de Lisa-Ann Cossette - Active +.

Ingrédients

  • 1 œuf;
  • 1/2 tasse de purée de citrouille;
  • 1/2 tasse de lait;
  • 1/3 tasse de cassonade;
  • 1/4 tasse de sirop d'érable;
  • 1/4 tasse d'huile de canola;
  • 3 tasse de flocons d'avoine;
  • 2 c. à thé d'extrait de vanille;
  • 2 c. à thé de mélange à épices de tarte à la citrouille (muscade, gingembre et cannelle);
  • 2 c. à thé de poudre à pâte;
  • 3/4 tasse de pépites de chocolat.
Étapes
  1. Préchauffer le four à 350 F.
  2. Mélanger tous les ingrédients, sauf les flocons d'avoines et la poudre à pâte et les pépites de chocolat.
  3. Ajouter les flocons d'avoine et la poudre à pâte, bien mélanger,
  4. Ajouter les pépites.
  5. Répartir la préparation dans 12 moules à muffins doublés de moules de papier.
  6. Cuire au four durant 20-23 minutes.

lundi 16 novembre 2015

Prendre le temps de faire ce qui nous rend heureux!

Ces derniers temps, j'essai beaucoup de faire des activités qui me rendre heureuse, de prendre le temps de faire ce que j'ai toujours eu envie de prendre le temps de faire, mais que le train train quotidien ne me permettait pas de faire.  Je met beaucoup de l'avant la réalisation de mes objectifs professionnels en oubliant de mettre de l'avant ce que j'ai envie de faire pour moi.  Avec cet article commence une nouvelle section sur la créativité sur mon blogue.  Je vais vous présenter des projets créatifs que je vais faire pour moi et pour les gens que j'aime.  Avec ce nouveau projet, j'aimerais apprendre ce que j'ai toujours eu envie d'apprendre et apprendre à mettre du temps à mon agenda pour mes projets personnels.

Dernièrement, j'ai essayé l'art thérapie par le coloriage pour adulte.  Une de mes amies avaient amener un livre complet lors de notre fin de semaine au chalet.  Et toutes les filles ont a jaser en coloriant.  Plusieurs sont d'avis que l'art thérapie est une démarche pour nous aider à gérer le stress, pour nous aider à augmenter son niveau d'énergie et pour apprendre à mieux connaître l'harmonie intérieure.  En fin de semaine dernière, je me suis permis de prendre du temps pour moi et de ne pas penser à autre chose, mis à part colorier.

COLORIER POUR NE PENSER À RIEN, COLORIER POUR FAIRE LE VIDE...

Et vous, prenez-vous le temps de faire des projets personnels qui vous rend heureux?

mardi 10 novembre 2015

Biscuits au beurre, citron et romarin

Aujourd'hui je vous partage une recette de biscuit que mon amoureux à préparé. Nous sommes pas mal fan d'une petite tisane de fin de soirée au citron et gingembre et ces biscuits au beurre,citron et romarin vont très bien accompagné cette douceur de fin de soirée :) Alors c'est sur que je vais lui en redemander! Oh et c'est selon lui la texture de biscuit parfait, juste le bon temps de cuisson, juste assez moelleux... dans son top biscuit jusqu'à maintenant! L'essayer, c'est l'adopter!

Ingrédients :

Ingrédients humides

  • 1/2 tasse de beurre à température ambiante;
  • 1/4 tasse de sucre;
  • 2 c. à thé de zeste de citron;
  • Le jus du un citron;
  • 1 c. à thé d'extrait de vanille;
  • 1 œuf.
Ingrédients secs
  • 2 c. à thé de romarin frais haché;
  • 1 1/2 tasse de farine;
  • 1 c. à thé de poudre à pâte;
  • Une pincée de sel.
Étapes :
  1. Préchauffer le four à 350 F et tapisser une plaque à pâtisserie de papier parchemin.
  2. Dans un bol, verser tous les ingrédients humides et bien mélanger jusqu'à l'obtention d'une texture lisse et homogène.
  3. Ajouter les ingrédients secs et bien mélanger . 
  4. Façonner  24 (nous 20) boules de pâte et les disposer sur la plaque à pâtisserie.
  5. Enfourner pendant environ 7 à 9 minutes.
Source : site de Trois fois par jour

jeudi 5 novembre 2015

Être prêt de nos émotions

Personne ne peut vous assurer avec certitude que ce que vous entreprenez va fonctionner du premier coup.  Ce n'est pas écrit dans le ciel... Bien sur, je fais parti de ce groupe de filles qui se posent toujours trop de question.  Mais la réalité c'est que lorsque l'on commence quelque chose, les probabilités sont les mêmes pour tous le monde, 50% de chance que sa fonctionne et 50% que ce soit un échec.  Des facteurs peuvent venir influencer à la hausse ou à la baisse, mais la réalité c'est qu'il y a toujours différentes possibilités.  Devant l'échec, certains vont se demander ce qu'ils ont fait de mal, d'autres vont se dire qu'il y a d'autre chose qui les attendent et passer à travers plus facilement.  Par contre, à certains moments, il est possible de se sentir plus vulnérable, de se sentir plus prêt de nos émotions.

De nos jours, il faut être fonceuse, être indépendante, mais cela ne veut pas dire de ne pas avoir de sentiment...  Personne ne devrait vous dire comment ressentir ce que vous vivez, ne laisser jamais personne vous dire que vous êtes trop prêt de vos émotions.  Pourquoi faudrait-il être intense dans tous les autres sphères de sa vie, sauf lorsqu'il est question de nos émotions?  Et si être intense de nos jours signifierait  pas témoigner de ce que l'on ressent, au lieu de se cacher derrière un masque? Pourquoi ne pas crier haut et fort ce que l'on ressent?

Ce que j'essaie de dire c'est que nous sommes ce que nous sommes.  Je me considère comme étant quelqu'un de très près de ses émotions.  Il est vrai que je culpabilise toujours, que je me pose beaucoup de questions, mais je suis la personne que je suis.  Aussi cliché que cela puisse paraître, il est vrai que nous avons seulement une vie à vivre, alors je dois apprendre à vivre  sans un "si j'avais fait si, il se serait passé quoi".  J'ai pris des décisions difficiles avec mes émotions, mais aujourd'hui j'en suis plutôt fière, je ne regrette pas le passé et je ne reviendrai pas en arrière.  Je suis la seule responsable de mes succès et de mes échecs.  Il est possible que les gens qui vous côtoie soit content ou déçu, mais à la fin, il ne restera que vous.  Dites-vous que lorsque l'on prend une décision avec son cœur, on ne se trompe rarement.

Lorsqu'on dit au revoir à quelque chose, ce n'est qu'un chapitre de votre vie qui est fermé.  Il est possible de se tromper, mais est-ce que sa vaut la chandelle de mettre de l'énergie a essayé de tous comprendre.  La vie est bien faite, alors si ce à quoi vous avez fermé la porte doit recroiser à nouveau votre chemin, la vie va vous le remettre sur votre route.  Soyez à l'écoute de votre cœur, seul lui connait les réponses.