samedi 31 décembre 2016

Mes secrets de l'expérience - partie 1

J'ai envie, bien humblement, de vous partager mes secrets de l'expérience. Parce que le temps nous apprend bien des choses. Parce que tout n'est pas parfait, qu'il y a des moments ou sa va moins bien et d'autres ou tout semble rouler sur des roulettes. Parce que je crois que la vie nous enseigne des leçons et qu'il faut savoir en tirer profit... Même si je dois encore travailler chacun de ses points, j'essaie de m'en rappeler quand je vit une situation plus difficile.

Écouter sa petite voix intérieur

Même si les autres ne pensent pas comme toi, cela ne signifie pas que tu n'as pas raison. Ce n'est pas parce que d'autres feraient les choses autrement, que la tienne n'est pas la bonne. Suivre sa petite voix intérieure défie toute logique bien souvent et que dans mon cas, j'ai du apprendre à l'écouter. Souvent par peur du jugement, par peur de ne pas prendre le bon chemin ou tout simplement par manque de confiance en moi, je ne l'ai pas écouté. Par contre, le temps m'a appris que les regrets c'est parfois lourd à porter. Écouter la voix de son coeur peut nous éviter des regrets. En apprenant à écouter cette voix, j'ai découvert ma vérité intérieur.

Ne regarde pas en arrière, ce n'est pas la direction dans laquelle tu t'en vas

Ce n'est pas toujours facile de ne pas retourner dans le passé, mais j'ai appris que ce n'était pas nécessaire. Il faut savoir en tirer des leçons, pour nous éviter de ne pas reproduire les erreurs du passé, pour continuer d'aller de l'avant et savoir d'ou on viens, mais le passé on ne doit pas s'asseoir dessus, ça ne sert à rien! Ne reste pas dans le passé, ce n'est pas la direction dans laquelle tu t'en vas!

Accepter l'inconfort, la situation n'est jamais éternelle

J'ai tendance à être anxieuse pour pas grand chose parfois. À d'autres moments, je suis en résistance face à la vie, en dualité contre moi-même, contre une situation que je dois vivre ou encore contre une situation ou je n'ai pas le contrôle... À l'intérieur de moi, c'est le chaos, je suis en mode défense, de protection et je refuse d'y faire face. Cependant, plus souvent qu'autrement, la résistance que je démontre ne me mène nulle part. Je perd un temps fou à culpabiliser, à me faire mille et un scénario et une bonne dose d'énergie à ne pas accepter l'inconfort. Ce que je me suis rendu compte, c'est que plus souvent qu'autrement, lorsque j'agit ainsi, c'est que je ne fais que retarder le moment ou je vais devoir faire face à la situation inconfortable. Devant un creux, la seule chose à faire bien souvent est d'accepter que pour un temps le nuage sera plus gris, mais la bonne nouvelle c'est que le soleil revient toujours un jour ou l'autre.

Vivre le moment présent, il ne revient jamais!

Disons le, je ne suis pas une fille qui a le bonheur facile. Longtemps dans ma vie, j'ai remis le bonheur entre les mains de d'autres, remis le bonheur à plus tard; quand j'aurai une maison, je serais heureuse; quand j'aurai la job de mes rêves... Ce que je me suis rendu compte c'est qu'attendre que les évènements arrivent ne suffit pas à nous rendre plus heureux. Dans une quête de bonheur, je me suis rendu compte que seul moi en est responsable et que chacun on doit faire notre petit bonheur de chemin. Pour moi le bonheur demeure dans les petites affaires, dans le moment présent. Aujourd'hui je réalise la chance que j'ai de regarder un film avec mon grand, de lire un livre par une journée de pluie, de savourer le repas préparé avec amour par mon amoureux ou de tout simplement avoir hâte de retrouver mon fils après une semaine chez papa. Parce que la job de rêve, la grosse maison ne vas pas nous amener le bonheur, le bonheur c'est les petites choses qui arrive au quotidien, c'est le moment présent. J'ai arrêté d'attendre la grosse affaire. J'ai encore du travail à faire pour apprendre le moment présent, mais j'apprécie ce qui se passe sous mes yeux, les gens qui m'entourent, au lieu de regarder ce que je n'ai pas. Souvent le bonheur ce sont les choses que l'on prend pour acquise, c'est pourquoi j'essaie d'avoir la sagesse de les apprécier. J'en connais la valeur et je sais que demain le moment présent ne reviendra pas.

Faire face à nos peurs

Anxieuse que je suis, je me crée souvent mes propres peurs. J'aimerais être capable de ne pas m'en faire. À défaut, j'essai d'affronter mes peurs et d'y faire face. Je leur parle, les calme; combien de fois je me suis dis en moi-même, je sais que tu as peur, mais je calme ma peur en lui disant que tout ira bien et je me répète le positif. Lorsque je laisse la peur prendre le dessus, je ne suis pas dans l'action. Il est vrai que les nouveautés dans nos vies sont souvent accompagnés de toutes sortes d'angoisse, mais si je veux évoluer en tant qu'être humain, il faut affronter nos peurs, accepter le changement et faire de la place à la nouveauté.

Faire de son mieux

On vit dans un monde de performance à tout prix, on nous demande de donner le meilleur de nous... mais qu'est-ce que le meilleur de nous? Pour ma part, le meilleur de moi est ce que je suis capable de donner selon la situation et selon les conditions du moment. Ayant passé la moitié de mon année enceinte, le meilleur de moi à quelque peu varier selon mes humeurs et ma condition physique. Alors je me suis dis je vais donner le meilleur de moi selon comment je me sens. J'ai décidé de m'écouter, d'être fidèle à ce que je peu offrir dans le moment présent. C'est de cette façon que je compte bien commencer l'année qui vient, en faisant de mon mieux!

Bonne année! 



mercredi 28 décembre 2016

Boeuf aux tomates cerises à la mijoteuse

Le temps des fêtes bat son plein.  Cette année le temps des fêtes veut également dire le début de mon congé de maternité.  Ma cocotte sera bientôt avec nous, alors il s'agit d'un temps des fêtes plutôt relaxe pour moi. Pas de déplacement à l'extérieur, donc plein de temps pour me reposer, prendre les journée une à la fois, et en profiter pour cuisiner pendant que j'ai encore le temps...

Il y a longtemps que je cherchais une recette de rôti de palette braisé à la perfection.  Et je suis tombé sur cette recette de Ricardo.  Un rôti qui a cuit pendant plus de 6 heures avec des oignons caramélisés, cette recette est vraiment décadente en bouche et en plus pas besoin de surveiller la cuisson, la mijoteuse s'en occupe pour nous!

Ingrédients:


  • 1 kg de roti de palette de boeuf désossé (dans mon cas rôti de palette de veau);
  • 30 ml d'huile d'olive;
  • 2 oignons coupés en fins quartiers;
  • 2 gousses d'ail hachées;
  • 2,5 ml d'origan seché;
  • 125 ml de bouillon de boeuf;
  • 30 ml de moutarde à l'ancienne;
  • 15 ml de tapioca à cuisson rapide;
  • 2 tasses de tomates cerises;
  • Sel et poivre au goût.
Étapes:
  1. Dans une grande poêle antiadhésive à feu moyen-élevé, dorer la viande dans l'huile des deux côtés, saler et poivrer et déposer dans la mijoteuse.
  2. Dans la même poêle, dorer les oignons, l'ail et l'origan.  Déglacer avec le bouillon de boeuf, ajouter la moutarde et le tapioca et déposer dans la mijoteuse par dessus le boeuf.
  3. Couvrir et cuire pendant 6 heures.  
  4. Régler la mijoteuse à haute température pour les 30 dernière minute de cuisson et ajouter les tomates cerises sans remuer.  Couvrir et cuire 30 minutes.
  5. Servir avec un légume vert sur un lit de nouille aux oeufs.
Source: Site internet de Ricardo


mardi 13 décembre 2016

Notre relation à toi et moi

Depuis quelques temps, je suis habité par une nostalgie.  Je vois filer les derniers moments seuls avec toi, mon fils unique.  Hey oui, avec l'arrivée de ta sœur, tu ne seras plus seul dans mon cœur. Je ne sais pas si c'est à cause du fait que je sais que je vais te voir moins souvent, mais je me sens emprise de culpabilité juste d'y penser.  Faut croire qu'encore aujourd'hui, j'ai de la difficulté à accepter le fait que je dois te partager la moitié du temps.  Il n'en sera pas question pour ta sœur, elle sera avec moi à tous les jours.  C'est bizarre, mais je trouve injuste que nous n'ayons pas cette chance...

Je le ressens aussi que tu t'inquiète de plus en plus de la venue de ta sœur.  Tu te demande sans doute, sans le savoir vraiment, ce qu'il adviendra de ta relation avec ta maman.  Notre relation vivra sans doute quelques petits changements auxquels tous les deux allons devoir s'adapter.  Mais je te promet que notre relation restera toujours unique.  Elle nous appartient à toujours et à jamais et il n'en tient qu'à nous d'en prendre soin.  Personne ne peut nous enlever le lien qui nous unit.  

Hier soir, je t'ai regardé dormir et tu avais l'air bien, s'a m'a un peu rassurée.  J'espère que tu vas toujours de rappeler que je t'aime à l'infini, que je serais prête à faire n'importe quoi pour toi, peu importe le nombre de frères et sœurs que tu auras, je serais toujours la pour toi quoi qu'il arrive.

Tu resteras à jamais mon bébé, mon premier amour, même si tu grandis.  Je t'aime comme tu es et je suis fière de la personne que tu deviens.  Ce qu'il y a entre nous deux est plus fort que tout, ne l'oublie jamais.

Ta maman qui t'aime xxx 

jeudi 1 décembre 2016

Le retour du lutin et galettes aux bananes

Avec la neige qui est arrivé et le mois de décembre qui est à nos portes, c'est maintenant le retour du lutin.  Bien que ma gentille maman nous est devancé cette année... Disons qu'elle a profité d'un weekend au début novembre, alors qu'elle gardait William pour acheter un lutin et faire des tours.  Bien sur nous en tant que parents, nous avons trouvé que la sorti du lutin un 4 novembre et bien c'est beaucoup trop tôt... Ne vous inquiétez pas, on a kidnappé Gustave le lutin et nous lui avons fait un tour à son tour... En espérant qu'elle est appris la leçon pour l'année prochaine ;)  Le lutin c'est jamais avant le 1er décembre!!!  Bien sur il a fallu que j'explique à William pourquoi le lutin était arrivé chez mamie et pas chez moi... mais bon...

Donc en fin de semaine, nous avons fabriqué notre piège à lutin et fait des biscuits pour attraper Kachmo le lutin. Comme vous pouvez le constater l'installation du pièges à lutin provoque des réactions différentes....  Mais, juste faire le piège et les biscuits avec mon Will avec la farine qui revole partout dans la cuisine, finalement le retour du lutin en vaut la peine! Surtout que William est maintenant capable de lire la recette ! :) Je vous laisse la recette de galettes aux bananes juste ici !


Ingrédients:

  • 500 ml de farine tout usage;
  • 5 ml de bicarbonate de soude;
  • 1 ml de cannelle moulue;
  • 1 ml de muscade moulue;
  • 1 ml de gingembre moulu;
  • 1 pincée de sel;
  • 250 ml de cassonade;
  • 125 ml d'huile de tournesol;
  • 1 oeuf;
  • 1 banane bien mûre, écrasée légèrement.


Étapes:

  1. Placer la grille au centre du four et le préchauffer à 375.  Tapisser deux plaques à biscuits de papier parchemin.
  2. Dans un bol, mélanger la cassonade avec l'huile, à l'aide d'un fouet ou au batteur électrique.  Ajouter l'oeuf et mélanger jusqu'à ce que la texture soit homogène. 
  3. Incorporer les ingrédients secs puis la banane.
  4. À l'aide d'une cuillère à crème glacée, répartir six boules sur chaque plaque en les espaçant.
  5. Cuire au four environ 13 minutes ou jusqu'à ce que les biscuits soient dorés.  Laisser refroidir sur une plaque


Dimanche matin, Will était déjà dans l'ambiance de Noel avec le retour de son lutin préféré et un film de Noel... Et oui la magie s'installe tranquillement!!!




vendredi 30 septembre 2016

Notre première rencontre

Me voilà en retard, je m'assis, remplie d'émotion sachant que j'allais à ta rencontre.  Mon coeur arrête l'espace d'un instant, j'attend le petit plus, je ferme les yeux, un mélange d'émotions m'envahit.

Depuis le mois de février, nous avons fait le choix ton père et moi, d'aller à ta rencontre et aujourd'hui me voilà à attendre de voir si notre voeux se réalise.  Il y a quelques temps, je me suis donnée un nouvelle chance au bonheur, une chance d'agrandir ma famille avec ton papa, le beau William et dans quelques mois, avec toi en plus.  Pourtant, ce matin, je bouillonne à l'intérieur.  Lorsque j'ouvre enfin les yeux, je vois que tu es à l'intérieur de moi. 

À cet instant, à la fois la joie, l'angoisse, l'amour, mais avant tout le désir profond de t'accueillir parmi nous.  Nous avons encore 9 mois de cohabitation et déjà j'ai l'impression de te connaître depuis toujours. C'est l'effet de l'amour inconditionnelle que j'éprouve déjà pour toi.

Dès ce moment, je savais que tu pouvais décider de partir, alors j'ai prié pour que tu t'attache à l'intérieur de moi.  La découverte de ta présence vient, je dois l'avouer, avec quelques peurs qui proviennent de mon passé. Des peurs que tu ne peux pas comprendre et que je vais devoir apprendre à apprivoiser.  

Mais la joie de ta venue est tellement grande comparativement à ses peurs. Au moment d'écrire ses lignes, nous en sommes à un peu plus de la mi-parcours, je te parle, je caresse ma bedaine. J'espère que tu sais que je suis la pour toi.  Que malgré que la vie n'est pas toujours facile, je ferais de mon mieux pour te protéger. Nous serons la, papa, William et moi pour découvrir la vie dans ses hauts et ses bas avec toi.

Tout le monde ici, t'attend avec impatience.  Papa et William sont impatient de faire ta connaissance.  Mais pour le moment, je te demande seulement de prendre toute les forces que tu as besoins pour le jour de notre première rencontre.

Maman xx 

mercredi 28 septembre 2016

Saumon a l'orange de style asiatique

Il y a déjà un bout de temps que j'ai cuisiné cette recette.  Je l'avais fait lors du retour de formation de mon amoureux au début septembre. C'est une recette simple a faire, que même les enfants pourraient cuisiner.  C'est d'ailleurs dans la section "futés en formation" du magazine Cuisine futée que j'ai pris la recette. Mais bon je recherchais  une recette simple à cuisiner à mes deux hommes et j'ai choisi celle la.  Je n'ai donc pas eu de petites mains qui m'ont aidé dans la cuisine. Cette recette vous sera utile puisqu'avec la routine de la semaine, nous sommes toujours à la recherche de recettes simples et rapides, mais qui ne néglige pas le goût!
Bonne appétit!

Ingrédients:

  • 60 ml de sauce hoisin (c'est une sauce barbecue chinoise que vous retrouverez facilement en épicerie);
  • 45 ml d'huile de sésame grillé;
  • 15 ml d'huile d'olive;
  • 5 ml de gingembre râpé en pot;
  • 5 ml de sauce piquante Sriracha;
  • Fleur de sel au goût;
  • 1 orange en quartier;
  • 30 ml de cassonade;
  • 1 lb (450 g) de filet de saumon avec la peau;
  • 1 botte d'asperge.
Étapes:
  1. Placer la grille au centre du four et préchauffer le four à gril (broil). Tapisser une plaque de cuisson de papier parchemin.
  2. Couper le filet de saumon en 4 morceaux égaux.
  3. Dans un bol, mélanger la cassonade, la sauce hoisin, l'huile de sésame, le gingembre  et la sauce Sriracha.
  4. Déposer les filets de saumon dans la sauce en mélangeant avec tes mains pour bien les enrober.
  5. Placer les morceaux de saumon sur la moitié de la plaque et verser le reste de la sauce sur le saumon.
  6. Couper l'extrémité plus dure des asperges et les placer sur la plaque à cuisson en ajoutant l'huile d'olive et la fleur de sel.
  7. Déposer les quartier d'orange tout autour du saumon et des asperges et cuire 15 minutes.
Source : Magazine Cuisine futée

lundi 19 septembre 2016

Pâte one pan a la saucisse italienne, aux épinards et aux trois fromages

Je ne sais pas chez vous, mais ici, les saucisses et les pâtes aux fromages c'est dans le genre très populaire.  Et en plus, cette recette se fait dans une seule casserole, alors on limite la vaisselle et le temps de qualité en famille après le souper.  C'est donc un repas vite fait pour les soirs de semaines.  Ne le dite pas a vos enfants, mais il a du fromage de chèvre dans la recette, mais une fois bien mélanger il n'y paraît rien!

Ingrédients:


  • 2 saucisses italiennes fortes sans le boyau, seulement la chaire (ici douce pour mon ti-loup);
  • 200 g. de macaroni ou tout autre pâtes courtes que vous avez sous la main;
  • 2 tasses d'épinards;
  • 6 tasses d'eau;
  • 1/2 tasse de fromages cheddar;
  • 1/4 tasse de parmesan;
  • 50 g de fromage de chèvre a pâte molle non affiné.
Étapes:
  1. Chauffer un grand poêlon antiadhésif (style wok) a feu moyen-vif et dorer la chaire de saucisse 3 ou 4 minutes en remuant de temps en temps.
  2. Ajouter le reste des ingrédients sauf le parmesan et le fromage de chèvre.
  3. Laisser mijoter sans couvercle pour que l'eau s'évapore. Lorsque les pâtes sont tendres (environ 15 minutes) retirer du feu.
  4. Pour servir, garnir de fromage de chèvre et de parmesan.
Source: Cuisine futée le magazine

jeudi 18 août 2016

Salade de quinoa trois couleurs

Déjà l'été qui achève et la rentrée qui est a nos portes. Cet été avec les nausées en début de grossesse et la fatigue qui ne lâche pas, je n'ai pas beaucoup cuisiné. J'ai profité un peu beaucoup de mon chum et de ses talents culinaires. Cette semaine, j'ai fait cette salade de quinoa pour accompagner un poisson blanc. Il nous restait un restant de maïs et ça m'a inspiré!  En lunch ou en accompagnement elle est tout simplement délicieuse.

Ingrédients:

  • 1 tasse de quinoa;
  • 3 épis de maïs;
  • 1 poivron rouge coupé en dés;
  • 2 tasses de chou vert;
  • 60 ml de jus de citron;
  • 3 c. a soupe d'huile d'olive;
  • 2 c. a soupe de miel;
  • Sel et poivre au goût.
Étapes:
  1. Cuire le quinoa selon les indications sur l'emballage;
  2. Trancher les épis de maïs, couper le poivron et le chou;
  3. Dans un bol, combiner tous les ingrédients de la vinaigrette;
  4. Dans un grand bol, mélanger le quinoa, les légumes et arroser de vinaigrette;
  5. Mélanger et servir.

mardi 5 juillet 2016

Quand je dois vivre sans toi une semaine sur deux

Il y a longtemps que je n'ai pas écrit, mais ce soir, je voulais écrire a mon fils.  J'ai une grande nouvelle, j'attend un nouveau petit bébé, un petit frère ou une petite soeur, tu étais tellement content quand je te l'ai annoncé.  Refaire une famille est pour moi une grande peur qui m'amène a faire le grand saut. Et puis je pense a toi, et d'autre peur refond surface...

Je sais que je devrais me réjouir que tu sois aussi bien chez ton papa que chez moi, mais ce n'est pas le cas. Tu sais p'tit loup par pure égoïsme, j'aimerais te garder a moi toute seule. Je me souviens encore la première fois que tu es parti dans ton autre maison chez papa. J'avais tellement mal a l'intérieur de moi, comme si on m'enlevais une partie de moi même une semaine sur deux. A ce moment. j'avais peur de ne plus jamais te revoir, peur de ne plus pouvoir te consoler, peur que tu m'oublie. Je sais, ce sont des grandes peur d'adulte et j'ai appris a les chasser de ma tête. Je sais que la séparation n'a pas été toujours facile pour toi non plus, et que cela ta demander beaucoup d'adaptation et plusieurs deuils a faire pour un petit garçon. Il n'est pas facile pour un p'tit de 4 ans de comprendre les chicanes des grandes personnes. Aujourd'hui, tu as grandi et ta force d'adaptation ne cesse de me surprendre. Aujourd'hui, je sais que tu es bien dans les deux maisons.

Maintenant, quand tu quitte, la peur de ne jamais te revoir fait place a celle que ton autre maison devienne ta préférée, que tu ne veule plus revenir ici. Ici, ou on se couche tôt, ou on se lave tous les soirs, ou on mange des légumes a tous les repas et ou bientôt je vais devoir prendre soins d'un autre p'tit bébé même quand tu seras avec nous, une semaine sur deux. Je devrais trouver ça chouette pour toi que les permissions ne soient pas les mêmes d'une maison a l'autre, mais j'ai peur qu'un jour, a l'adolescence peut-être, tu veules habiter seulement dans ton autre maison. J'ai peur que tu me rejette, que tu trouve ça plus cool chez papa. J'ai peur que tu continue de grandir et te voir partir plus souvent. Je te l'ai dit p'tit loup, les adultes ont ce défaut qui s'appelle l'égoïsme. 

Je sais bien qu'un jour ou l'autre, je vais devoir apprivoiser cette nouvelle peur qui grandit en moi. Que je vais devoir m'adapter a tes besoins et faire des choix en fonction de ceux-ci. Je sais bien que je vais devoir accepter tes choix, peut importe qu'il me mettre en second plan. Par amour pour toi, parce que sinon, je vais finir toute seule avec mon égoïsme.

Sache que je t'aime tellement fort et que la seule chose qui m'importe au fond c'est de te voir heureux comme maintenant.

Je t'aime, maman xx

mardi 3 mai 2016

Se montrer sous son vrai visage... sans masque

Sans vouloir porter de jugement envers personne, je trouve que notre société manque d'authenticité. Je suis un peu essouflé de devoir être une wonder woman et de ne pas toujours réussir à être à la hauteur du personnage! Tsé l'image de la fille parfaite, belle, en forme, qui réussit tout dans la vie, celle qui croit que c'est facile de jongler entre la vie de famille, la vie professionnelle, en cuisinant de bons petits repas, dans une maison rangée à la perfection, la fille qui a une vie à la fois saine et équilibrée, qui est l'amie disponible et l'amante attentive, et bien moi je n'en connais pas dans mon entourage. Moi quand je me compare à cette image de perfection, je me sens moche, pas à la hauteur. Je dois souvent me rappeler que je ne suis pas un personnage de super héros et que je ne connais personne de parfait.

Mais pourquoi, aujourd'hui sur les réseaux sociaux j'ai l'impression de voir l'image de la perfection? Il est tellement facile de projeter l'image parfaite. Mais la vie ce n'est pas ça! On n'est pas toujours à notre meilleur. Ça m'arrive souvent de me réveiller en bougonnant, ben non je ne suis pas une morning girl. Ça m'arrive de me bourrer la face dans les bonbons, de trop manger, de le regretter, de ne pas aimer mon reflet devant le miroir, de me chicaner avec mon chum, de m'inquiéter pour rien, surtout pour rien de perdre patience... C'est aussi ça la vie. Ce n'est pas seulement ce qu'on voit sur facebook. J'ai des jours, parfois des semaines qui sont moins facile, que je me demande comment je vais passer au travers. Mais une des leçons que la vie m'a appris c'est que pour apprécier les moments de bonheur, pour rire aux éclats, il faut pleurer à ne plus avoir de larmes et avoir mal intérieurement. C'est sur qu'il fait plus froid à l'ombre qu'au gros soleil de midi, mais je ne connais personne qui reste au gros soleil tout le temps.

Être authentique, c'est accepter ses côtés sombres, c'est admettre qu'à certains moments je suis plus fragile. Mais plus je suis vrai, plus je suis forte. En acceptant mon nuage gris, personne ne peut venir m'atteindre, je les connais et je sais qu'ils sont là, ils font partie de moi.

L'image de la perfection c'est ni plus ni moins des masques pour se protéger. Pendant longtemps j'ai porté des masques pour ne pas voir la réalité, pour affronter mes peurs. Des masques, j'en ai plusieurs...la performante, la gentille, la parfaite, la femme fragile, la généreuse, la sauveuse. Ces étiquettes ont guidées ma vie à un moment ou à un autre, mais à un moment donnée, les masques sont devenus lourds à porter. Ces derniers temps, j'ai réalisé que je ne voulais pas demeurer cacher derrière un masque, mais plutôt me montrer sur mon vrai jour dans toute ma vulnérabilité.

L'authenticité, c'est beaucoup plus accessible que wonder woman et après tout ce n'est pas si grave les mauvaises passes ou les moins bonne journées, qui en a pas de toute façon?

mardi 26 avril 2016

Gâteau au chocolat noir et glaçage à la guimauve

La semaine dernière, nous avons reçu à souper pour la fête de ma sœur. Le bébé de la famille qui a maintenant 22 ans. C'était une belle fin de semaine et nous avons fait un BBQ pour l'occasion. Qui dit fête, dis gâteau et j'avais demander à ma mère de faire le gâteau. Alors oui je vous partage une recette cuisiner par ma maman. Mais ouff quel gâteau! Il était tout simplement délicieux. 

Ingrédients:


  • 1 tasse de beurre;
  • 2 1/2 tasses de sucre;
  • 200 g de chocolat noir 70%;
  • 1/2 tasse d'expresso allongé;
  • 3/4 tasse de lait;
  • 4 œufs;
  • 2 tasses de farine tout usage;
  • 1 c. à thé de poudre à pâte;
  • 1/2 c. à thé de bicarbonate de soude.
Pour le glaçage à la guimauve:


  • 1/2 paquet (200 g) de guimauves;
  • 1 tasse de beurre;
  • 1/2 tasse de crème à fouetter, fouettée.
Étapes: 
  1. Préchauffé le four à 350 F. Beurrer un moule à charnière de 9 po. Réserver.
  2. Au bain-marie, faire fondre le beurre, le sucre et le chocolat. Retirer du feu et ajouter le café, le lait et les œufs. Fouetter pour obtenir un mélange homogène.
  3. Ajouter la farine, la poudre à pâte et le bicarbonate de soude, puis bien mélanger.
  4. Verser dans le moule à gâteau et cuire 1h20.
  5. Laisser refroidir complètement le gâteau avant de le démouler.
  6. Dans une casserole, faire fondre les guimauves et le beurre. Transférer dans un bol puis laisser refroidir pendant 30 minutes au réfrigérateur.
  7. Fouetter le mélange de guimauve (il est plus facile de le travailler s'il est tiède) puis ajouter la crème fouettée. Couvrir le gâteau de glaçage et le garnir avec du chocolat râpé.
Source: Trois fois par jour




vendredi 22 avril 2016

La magie des mots

Mon p'tit loup est en première année et mon dieu que je trouve qu'il grandit beaucoup trop vite à mon goût! Son imagination et sa façon de voir le monde ne cesse de m’étonner. Il apprend tellement vite, comme une éponge. Je me considère une maman chanceuse parce qu'il aime tellement l'école et que j'ai des bons commentaires sur son comportement. Il est fier de lui, de ses réussites et il travail tellement fort. Je m'implique comme je peu en tant que parent, mais je crois qu'on ne réalise pas à quel point la plus grande partie de leurs apprentissages viennent de eux. Il emmagasine tellement d'information c'est fou!

En maternelle, il savait lire seulement quelques mots et encore, il avait appris à bien écrire son prénom, mais pas encore son nom de famille. À son arrivée  en première année, j'avais l'impression qu'apprendre à lire et à écrire serait une montagne pour lui et pourtant. Les mots s'installent dans ses mains, dans sa tête et c'est magique.


Moi-même une amoureuse des mots, je souhaite que les mots continuent de le fasciner, qu'ils remplissent sa tête d'image, de rêves, de passions et d'émotions. La connaissance des mots est une richesse incroyable, c'est de la que commence l'ouverture sur le monde, que s'ouvre une possibilité infinie de connaissances. Je le regarde s'émerveillé sur la science, sur les dinosaures et choisir des livres à la bibliothèque sur ce qu'il veut apprendre et mon cœur de maman s'emballe devant sa soif de connaissances.


Au-delà des mots, il se découvre des passions, et sans le savoir il s'ouvre des portes sur un tas d'idées nouvelles. Comme mère, je me demande si un jour je cesserai de m'émerveiller devant mon p'tit loup qui travail tellement fort pour apprendre un nouveau mot et terminer un livre rempli de fierté.

samedi 16 avril 2016

Salade de chou chinois au poulet

Les salades repas me rapproche un peu plus du printemps et de l'été qui tardent à s'installer ici en Abitibi.  Nous sommes en avril et le soleil commence à nous réchauffer avec ses rayons. Mais, la neige est encore visible et je cherche un peu à voir plus de vert. À défaut d'en voir dehors, j'en ai mis dans mon assiette. Ce qui est bien, c'est que sa fait des bon lunch et en plus je ne cuisine pas souvent le chou chinois. Je dois préciser, personnellement, j'ai doubler la recette puisque celle-ci est prévue pour une portion.

Ingrédients:
  • 1 1/2 tasse de chou chinois;
  • 3 oz de poulet cuit;
  • 1/2 carotte râpée;
  • 1 oignon vert;
  • 1 petit concombre miniature;
  • Sel et poivre au goût;
Ingrédients pour la vinaigrette:
  • 1 c. à soupe de moutarde à l'ancienne;
  • 2 c. à soupe de mayonnaise;
  • 2 c à soupe de crème 15 %;
  • 25 ml d'huile d'olive;
  • 1 c. à soupe de sirop d'érable.
Étapes: 
  1. Couper le chou grossièrement puis le déposer dans un bol. Ajouter le poulet, la carotte, l'oignon et le concombre et assaisonner au goût.
  2. Combiner tous les ingrédients de la vinaigrette ensemble.
  3. Verser la vinaigrette sur la salade de chou, mélanger et servir.

vendredi 15 avril 2016

À la découverte du smoothie vert

C'est temps-ci, j'ai envie de faire attention à moi, de faire attention à ce que je mange et de prendre des bonnes habitudes comme déjeuner le matin. J'essaie de déjeuner le matin, mais ce n'est pas à ce moment la de la journée que j'ai le plus d'appétit. La toast au beurre de peanut c'est bon, mais sa devient vite routinier.  J'essaie d'intégrer des aliments qui vont me soutenir plus le matin et de prendre une collation pour pallier au fait que je ne mange pas suffisamment pour déjeuner. Ce smoothie, en plus d'être excellent, vous offre des bons aliments qu'on ne pense pas à toujours mettre dans un smoothie comme les épinards et les graines de chia.

Ingrédients pour deux portions:


  • 1 banane;
  • 1/2 tasse d'ananas frais;
  • 1 pomme;
  • 1 1/2 tasse d'épinard;
  • 1 tasse de lait;
  • 1/2 tasse de jus d'ananas;
  • 1 c. à soupe de sirop d'érable;
  • 1 c. à thé de graines de chia.
Étapes: 
  1. Mettre tous les ingrédients dans un robots mélangeur.
  2. Réduire en purée lisse et servir.
Source: Petite douceur

mardi 5 avril 2016

Muffins bananes, framboises et chocolat blanc

Cette semaine, je me cherchais une recette pour me sucrer le bec, mais aussi pour déjeuner rapido-presto.  Bien que je sois seule pour une partie de la semaine, j'en profite pour étirer un peu le moment du réveil et en profiter pendant que j'ai le lit à moi toute seule et profiter du fait que pour une fois je n'ai pas à me presser pour personne le matin (je sais je suis un peu égoïste, mais je m'assume totalement). Pour dessert, pour déjeuner ou simplement combler une petite envie de sucrée, cette recette est toute indiquer avec le bon goût des framboises et du chocolat blanc.  Cette recette est également parfaite pour les gens seule puisqu'elle donne seulement 6 portions. Mais bon, il est toujours possible de doubler ou même de tripler la recette.

Ingrédients:

  • 2 bananes bien mûres;
  • 1/4 tasse de cassonade;
  • 1/4 tasse d'huile végétale;
  • 1 œuf;
  • 1 jaune d’œuf;
  • 1 c. à soupe de jus de citron;
  • 1 tasse de farine;
  • 1 pincée de sel;
  • 1 c. à thé de poudre à pâte.
  • 1/2 tasse de framboises fraîches
  • 1/4 de tasse de chocolat blanc. 
Étapes: 
  1. Préchauffer le four à 350 F et chemiser 6 moules à muffins de caissettes en papier. Réserver.
  2. Dans le bol du pied mélangeur, battre les bananes et la cassonade, Ajouter l'huile, l’œuf, le jaune d’œuf et le jus de citron et bien mélanger.
  3. Ajouter les ingrédients secs, bien mélanger et ajouter les framboises et le chocolat blanc. À cette étape, mélanger à la main pour ne pas écraser les framboises.
  4. Enfourner au four de 20 à 25 minutes et laisser refroidir complètement.
Sources: Fil et Fouet

dimanche 3 avril 2016

Ce matin ...

Ce matin, je me sens mélancolique. Face à moi-même, à nouveau seule depuis longtemps, j'ai eu le vertige. Et pourtant, je suis contente de me retrouver, de m'isoler dans mon cocon et de respirer la quiétude.

Ce matin, je me sens mélancolique. Souvenir d'une fin de semaine entouré de mes gens préférés sur la planète, je me retrouve à nouveau seule dans mon univers devant ma plume et ma feuille de papier.

Ce matin, je me sens mélancolique. Il y a longtemps que je ne me suis pas retrouvé seule pour calmer la tempête qui n'arrête jamais dans ma tête, pour arrêter le temps et apprécier le moment.

Ce matin, je me sens mélancolique. La séparation me rend amer. Les moments partagés dansent dans ma tête sur la tonalité de la musique.  

Ce matin, je me sens en paix. Je sais ma mélancolie passagère, reconnaissante de ma nostalgie, sachant que ces moments sont encore possible. Dans une semaine, tous recommencera comme auparavant.

Ce matin, je me sens en paix. Avoir mis des mots sur papier, accepter la quiétude et lui faire une place m'a conforté à apprivoiser à nouveau la solitude.

Ce matin, je me sens en paix. Je fais une place à la liberté de pouvoir me retrouver seule, avoir le loisir de faire ce qui me plaît.

Ce matin, je me sens en paix. Je me donner le droit de respirer profondément et de m'accorder du temps, de prendre soin de moi.

Ce matin, je me retrouve seule et c'est bienvenue finalement. 
Bonne semaine,

vendredi 11 mars 2016

Grand-maman, maman, soeurs, amies, collègues

Ces derniers temps, à cause de la journée sur le droit des femmes, un des débats chauds est celui du féministe.  Je n'écris pas souvent des textes d'opinion.  Est-ce que je suis féministe? Je dirais que oui je le suis à mes heures. Il y a plusieurs façon d'être féministe. Je crois que le féministe à encore sa place dans notre société. J'ai quand même un peu peur de dire que je suis féministe, peur parce que je ne me sens pas à la hauteur. Je ne connais pas en profondeur l'histoire et la culture du mouvement. Je crois que l'étiquette "être féministe", adhérer au mouvement ou pas, est devenue plus important que la cause elle-même.

Je me trouve chanceuse d'être née au Québec, de vivre dans une société où les générations avant moi ont beaucoup fait avancer les droits des femmes si je compare à d'autre pays dans le monde. Quand je dis que le mouvement a encore sa place dans notre société, c'est que je ne considère pas que la lutte soit terminé. Je crois qu'en tant que femme, je peut moi aussi faire quelque chose. J'ai des supers modèles de femmes qui m'entourent et j'ai envie de m'en inspirer.

Le mouvement revendique d'abord et avant tout l'égalité. Dans les dernières semaines, le débat était davantage orienté sur la définition du féministe et de quels façons nous devons exercer le féministe. Je suis d'avis qu'il y a autant de façons d'être féministe qu'il y a de modèles de sociétés: la situation des femmes est loin d'être la même partout sur la terre. Mais reste qu'à la base ce que nous revendiquons c'est que les humains, hommes ou femmes, soient traités équitablement. Il est rare qu'un mouvement atteinte sa finalité! Prenez par exemple la pauvreté. Nous n'avons pas encore en tant que société enrayer la pauvreté, il en est de même au rapport égalitaire entre les hommes et les femmes.

Mon but n'est pas d'alimenter le débat, mais de reconnaître la femme que je suis et les femmes qui m'entourent, et de les encourager à continuer d'être ce qu'elles sont! Pour reprendre les termes de ma magnifique sœur "épanouissez-vous, montrez vos vrais couleur, de la sensibilité à la force, osez encore plus". Mais encore plus mesdames respectez-vous, vous êtes la seule responsable de votre destinée. Et en tant que société, travaillons ensemble, hommes et femmes à se respecter. Respecter ce que nous sommes, ceux avant nous, ceux qui nous entourent et ceux qui seront après nous. Le féministe n'est pas seulement l'affaire des filles, mais de toute la société.

Grand-maman, maman, sœurs, amies et collègues, pour hier, aujourd'hui, demain, merci d'être qui vous êtes <3

Chili aux haricots blancs et au poulet

Initialement, mon idée de départ était de faire un chili blanc du livre de recettes La Mijoteuse 2 de Ricardo.  Cependant, je n'ai jamais trouver de salsa verte qui n'est pas à base je jalepeno et qui ne fait pas en sorte que tu ne crache pas du feu à chaque bouchée.  Faute de salsa verte, je l'ai fait avec de la salsa rouge moyenne et de la salsa aux fruits fait maison. C'est tout de même une belle variante à la recette originale du livre et du chili mexicain traditionnel.  À la maison, on aime beaucoup manger mexicain, alors j'essaie le plus souvent de trouver des variantes.

Ingrédients:

Chili

  • 1 1/2 lb de poitrine de poulet désossés et sans la peau entière;
  • 1 oignon haché finement;
  • 2 gousses d'ail hachées;
  • 1 pot de 450 ml de salsa rouge du commerce (dans mon cas moyennement épicé);
  • 1 pot de 500 ml de salsa aux fruits (dans mon cas maison, mais du commerce peut faire le travail également);
  • 2 boîtes de 540 ml de haricots blancs, rincés et égouttés;
  • 1 1/2 tasse de grains de maïs surgelés;
  • Sel et poivre au goût.
Garnitures au goût
  • Croustilles de maïs;
  • Guacamole;
  • Crème sure
  • Fromage mozzarella râpé;
  • Feuilles de coriandre fraîches. 
Étapes:

  1. Pour le chili, dans la mijoteuse, mélanger tous les ingrédients sauf le maïs, Saler et poivrer.
  2. Couvrir et cuire à basse température 8 heures.
  3. Avant de servir, effiloché les poitrines de poulet et ajouter le maïs et poursuivre la cuisson en mode réchaud pendant 30 minutes, sans couvrir.
  4. Servir le chili dans un bol avec les garnitures de votre choix.
  5. Si le chili semble trop épais, vous pouvez ajouter un peu de bouillon de poulet ou de l'eau.

dimanche 6 mars 2016

One pot pasta

Le "one pot pasta" est une nouvelle mode culinaire et mon amoureux a voulu l'essayer.  Le principe est assez simple: on met tous les ingrédients dans le même chaudron et on laisse cuire pour avoir un bol de pâtes et une délicieuse sauce. Ce principe ne demande pas beaucoup de préparation et peu de vaisselle, alors c'est magique. Ce sont des recettes supers simples pour les étudiants et les parents pressés. En plus sa fait des excellents lunchs le lendemain. Vous trouverez des idées de recettes dans le premier magazine de Trois fois par jour, mais celle-ci est inspiré directement de la tête de mon chum qui voulait passer les plus vieux légumes du frigo.

Ingrédients:


  • 1 paquet d'asperge;
  • 1 casseau de champignons blancs;
  • 1 tomate;
  • 1 oignon;
  • 1/2 bouquet de persil;
  • 1 c. à thé d'ail;
  • 1 c. à thé d'oregan;
  • 4 c. à soupe de parmesan;
  • 2 saucisses italiennes (chair à saucisse);
  • 1/4 de tasse de mozzarella;
  • 3 tasses de bouillon de légumes;
  • 400 g de pâtes de style scooby doo. 











Étapes:

  1. Dans un grand chaudron, verser tous les ingrédients et porter à ébullition.  Laisser mijoter pendant 5 minutes.
  2. Réduire le feu et poursuivre la cuisson pendant 15 minutes ou jusqu'à l'obtention de la cuisson désirée pour les pâtes. S'il reste trop de liquise à votre goût, vous pouvez en retirer à l'aide d'une louche.
  3. Goûter afin de rectifier l'assaisonnement au besoin et servir avec du parmesan frais râpé.


mercredi 2 mars 2016

Malaise interne

Il m'arrive souvent, trop souvent, de penser à ce que les autres pensent de moi. Parfois, j'accorde beaucoup trop d'importance au regard des autres. Combien de fois j'ai angoissé, combien de fois je me suis inquiété de ce que les autres pensent! Tous ça pour des opinions souvent d'inconnu, opinions qui restent simplement des hypothèses et qui alimentent mon cerveau reptilien, et qui plus est, sert uniquement à alimenter ma peur. Le problème, c'est que mon ego pense que les autres ont un opinion critique sur ce que je fais. En réalité, le seul malaise qui existe est dans ma tête!

Surtout, la réalité, c'est que les autres ne sont pas continuellement en train de me regarder ou de me porter attention. Ceux qui remarque mes maladresses s'en foudre pour la plupart du temps. Bien sur, lorsque les regards se tournent vers moi, ma rationalité fait place à la paranoïa. La question "de quoi j'ai l'air?" m'obsède et me fait appuyer sur le bouton panique. Non, les regards ne sont pas tous tourner vers moi, mais c'est tout comme. À ce moment la, la chanson du malaise interne prend toute la place et c'est la seule chose que j'ai dans la tête.

Mais j'oublie trop souvent que les gens ont d'autres choses à faire que de me porter attention. À moins que ma maladresse soit un événement qui prend toute la place visuellement, comme déboulé les marches, les gens en général ne s'intéresse pas à ce que je fais ou de quoi j'ai l'air. Et même lorsque j'attire l'attention, les gens vont s'y intéressé pour un temps seulement. À peine le temps de me remettre sur pied et de lever les yeux pour me rendre compte que les autres sont déjà retournés à leur occupation.

Je me le dirais jamais assez, même la pire gaffe que je peux faire finira par s'oublier et au pire, elle reviendra pendant un souper de famille pour faire rire un peu les miens. Après tout, ma famille s'est très bien que mes maladresses sont légendaires. Et comme me dit toujours mon père, "si tu ne vaux pas une risée, tu ne vaux pas grand chose".

dimanche 21 février 2016

Minestrone aux légumineuses

Samedi soir, on a mangé comme des rois.  C'était l'anniversaire de ma chère amie Cindy et elle nous a reçu chez elle pour nous offrir l'expérience culinaire d'un souper cinq services avec le chef en vous. Le repas était plus que copieux mais tout le monde a terminé tous les services pour ne pas gaspiller une miette de ce délectable repas. Et bien, je ne sais pas si les autres personnes présentes sont comme moi aujourd'hui, mais ce matin en me levant je n'avais pas faim du tout.  Quand est venue le moment de choisir le repas de ce soir j'ai proposé à mon amoureux de cuisiner une soupe minestrone. La soupe repas par excellence après un repas comme celui de hier soir et en plus c'est végé!

Ingrédients:

  • 1 oignon;
  • 2 gousses d'ail haché;
  • 1 filet d'huile d'olive;
  • 2 carottes coupés en dés;
  • 2 c. à soupe de pâte de tomates;
  • 3 tomates fraîches;
  • 2 branches de céleri;
  • 1 courgette en petit dés;
  • 1 conserve de haricots mélangés;
  • 2 litres de bouillon de légumes;
  • Sel et poivre au goût;
  • 1 tasse de riz;
  • Parmesan au goût au moment de servir.
Étapes:
  1. Dans une grande casserole, faire revenir l'oignon et l'ail dans un filet d'huile d'olive. 
  2. Ajouter les carottes et remuer.
  3. Incorporer la pâte de tomates et les tomates fraîches en morceau et bien mélanger.
  4. Ajouter le reste des légumes et des légumineuses.
  5. Verser le bouillon de légumes et saler et poivrer.
  6. Après 15 minutes de cuisson, ajouter le riz et laissez mijoter encore 20 minutes à feu doux.
  7. Au moment de servir, parsemer la minestrone de parmesan, servir chaud avec du pain et du fromage.
Source: Végétarien, parfois, souvent ou passionnément

samedi 13 février 2016

L'amour ça se cuisine tous les jours!

C'est le week-end de l'amour et j'ai envie de vous parler d'amour. Ma relation avec l'amour a beaucoup changer depuis ma séparation. J'ai souvent dans ma vie mal aimé.  J'ai toujours voulu vivre une relation d'amour comme on voit dans les films, le genre d'amour rose bonbon! Trop souvent je comparais ma relation avec les autres couples, envieuse et par désir d'être aimé mieux !? Je vivais dans ma relation en espérant être aimé plus de celui que j'aimais. Mais au bout du compte, c'est moi qui m'aimait pas assez, j'avais ce besoin de l'amour de l'autre pour être plus heureuse.  Après ma séparation, j'ai appris à m'aimer plus (c'est soit disant un travail de tous les jours). J'ai surtout appris qu'il est impossible de changer quelqu'un, l'amour de l'être aimé ne se commande pas d'un coup de baguette. Il est impossible de contrôler les sentiments de l'autre à notre égard, l'amour se transforme et c'est ce qui fait la beauté d'aimer quelqu'un.

Depuis ma séparation, j'aime différemment. J'ai arrêter d'attendre que l'autre soit responsable de mon bonheur, arrêter de me comparer, chaque histoire est différente, ce qui fonctionne pour un couple, n'est pas forcément bon pour tous les couples et c'est normal, parce qu'on aspire pas tous au même résultat.

J'aime Hugo, je l'aime avec ses qualités et ses défauts et lui, il m'aime pour ce que je suis, et pour moi c'est ce qui représente la plus belle preuve d'amour.  C'est un peu de cette façon que j'aime à nouveau. J'apprend à aimer la personne dans son imparfait, je ne lui demande pas d'être quelqu'un qu'il ne pourra jamais être. Il en est de même avec moi, je ne suis pas la fille parfaite, je suis une fille anxieuse, souvent insatisfaite et en éternel questionnement.  Mais le plus beau, c'est que Hugo me respecte à travers mes défauts et mes qualités.

J'entend souvent encore des gens critiqué l'autre parce qu'il ne fait pas ci ou cela. Il y a tellement de sources de chicanes possibles dans un couple. Ne pas toujours être en accord est inévitable, et souvent même profitable, oui oui profitable! Il est facile de s'acharner, mais difficile d'aimer la personne comme elle est. Et bien moi je dis que seul l'amour compte, on passe beaucoup de temps à aimer dans une vie, alors mieux vaut aimer de la bonne façon. Le respect doit être à la base de toute les relations. Dans un premier temps se respecter soi-même, respecter ses valeurs et ses idéaux et dans un deuxième temps, respecter la personne comme elle est.

Profiter du week-end pour célébrer l'amour, mais n'oublier pas que l'amour est un travail de tous les jours. L'amour ça se cuisine tous les jours ;)!

dimanche 31 janvier 2016

Accepter de changer

Je ne sais pas si vous êtes comme moi, mais par nature, j'ai toujours recherché la stabilité et la sécurité. Routine et habitudes peuvent paraître peser pour certains, mais pour moi elles me permettent de me sentir protégés. Je ne crois pas par contre qu'elles nous mettent à l'abri de tout événement déstabilisant ou de remises en questions trop importantes.  Il y a quand même des limites à la routine et aux habitudes. À certains moment, il est possible de changer, il est même recommandé de changer.

Changer c'est accepter le temps qui passe.  Il se peut que l'emploi qu'on occupe ne soit plus celui qui nous convient.  Mais entre vous et moi, accepter que la vie change peut faire mal parfois. L'acceptation de changer n'est pas facile non plus...on s'en rend compte et on fini par se dire que sa va passer, que c'est une mauvaise passe. Mais vient un temps où le changement demeure la seule option; changer c'est accepter que ça n'aille plus. Selon moi, il faut beaucoup de courage pour accepter qu'on a besoin de nouveau, qu'on a envie de se sentir mieux avec soi-même.

Je me souviens encore quand j'ai finalement accepter la situation, le moment ou ma seule action possible a été le changement. J'avais terriblement peur de l'avenir, mais le temps à arranger les choses et aujourd'hui je n'ai aucun regret.

Le changement se fait un pas à la fois. Un changement se fait d'abord pour nous, pour se sentir mieux. Pour changer, il nous faut accepter que nous avons envie de changer.  Il faut ensuite passer à l'action et combattre nos peurs. L'action vous ouvrira des portes, et une fois que la première est ouverte, le pire est faite. Lorsqu'on se concentre sur ce qu'on désire vraiment, la détermination et le changement s'opère plus facilement puisque nous choisissons de nous diriger vers ce que l'on veut vraiment.  Il n'en reste qu'à vous de le faire pour vous.

"C'est quand une personne ose prendre des risques et s'impliquer personnellement qu'elle peut grandir et évaluer" - Otto.

mercredi 27 janvier 2016

Riz mexicain gratiné

Cette recette, je l'ai trouvé sur le blogue d'une amie à moi Fil et Fouet.  Chez nous, on mange régulièrement mexicain.  Et comme notre objectif est de manger un repas végétarien par semaine, je trouvais que cette recette était parfaite pour nous.  Ce que j'aime de cette recette, c'est que sa se fait dans une seule casserole, alors moins de vaisselle.  Pour les non végétarien, ce riz accompagnerais bien des fajitas ou encore des tacos lors de votre prochaine fiesta mexicaine.

Ingrédients:

  • 1 c. à soupe de beurre;
  • 2 gousses d'ail hachées;
  • 1 gros oignon haché;
  • 1 poivrons de couleur en petit dés;
  • 1/2 c. à thé de cumin;
  • 1/2 c. à thé de chili;
  • 1/4 à thé de coriandre moulu;
  • 1 boîte de haricots rouge rincés et égouttés;
  • 1 tasse de riz à grains longs;
  • 1 1/2 tasse de maïs en grains;
  • 1 1/2 tasse de salsa douce (médium dans mon cas);
  • 1/2 tasse d'eau (l'équivalent de 1 tasse dans mon cas);
  • 2 tasses de cheddar fort.
Étapes:
  1. Dans une grande casserole, faire chauffer le beurre et y faire revenir l'oignon, l'ail et le poivron.
  2. Ajouter les épices et poursuivre la cuisson pendant 2 minutes.
  3. Incorporer les haricots, le riz, bien enrober des épices et cuire à sec environ 4 minutes.
  4. Ajouter la salsa et l'eau et laisser mijoter à feu doux de 20 à 25 minutes ou jusqu'à ce que le riz soit tendre. Ajouter de l'eau au besoin.
  5. Servir dans des bols et garnir de fromage.
Source: Fil et Fouet

mardi 19 janvier 2016

La quête du bonheur

Depuis que j'ai commencé ce blogue, et depuis mon premier article "À la poursuite du bonheur", je me questionne beaucoup sur le sens du mot bonheur.  D'aussi loin que je me souvienne, j'ai toujours voulu m'améliorer.  Je me demande souvent ce que j'attend de la vie. Finalement c'est assez simple, je veux être heureuse.  Et pourtant, je "souffre" d'un absence de certitude, d'un malaise et d'une sorte de mécontentement.  Le hic c'est que je n'en connais pas la cause. J'ai souvent l'impression de passer à côté de quelque chose, seulement je le sais bien que j'ai de la chance.  Quand je me réveille la nuit, je fais le tour des chambres de la maison pour regarder mon fils et mon amoureux faire dodo.  Je possède tous ce que je désire à porter de la main, sans pourtant m'en réjouir.  Je m'en fais souvent pour rien, j'ai des petits problèmes passagers, mais dans le fond je me bat constamment avec moi-même sans savoir pourquoi.  Comment me forcer à être heureuse au quotidien ou devrais-je dire comment arrêter d'être tourmenté? Je ne veux pas avoir l'impression de passer à côté de ma vie.  Si je veux mettre le bonheur au premier plan, je dois d'abord et avant tout me libérer.

Il me faut être plus heureuse sans pour autant tout chambouler autour de moi.  Oui je veux être plus heureuse, mais ma vie ne changera pas que si je la prend en main.  Je veux changer tout en continuant de m'accepter, me prendre moins au sérieux, occuper mes heures au maximum sans oublier de jouer, de lire, de penser à moi, cesser de m'agiter, ne pas me préoccupé de demain, tout en conservant mon élan et mes ambitions.

Comment arriver à changer vers un bonheur accompli et assumé? Qu'est-ce que je veux de plus? Bien sur j'ai envie de renforcer mes liens amicaux, d'apprendre de mes patterns, trouver la façon pour moi-même de les aborder.  Je ne suis pas une fille qui a le goût de l'aventure, je ne cherche pas un changement radical.  Pire encore, je refuse de rejeter mon existence actuelle.  Ce que je veux dans ce quête du bonheur? Changer ma compréhension du bonheur sans tout bouleverser et apprécier ce que j'ai à la maison.  Mon bonheur se trouve ici et maintenant.  Ma vie est belle, mais je ne l'apprécie pas suffisamment.  Je désire en tirer le maximum.

Je sais que je suis meilleure quand je suis heureuse, plus patiente, plus légère.  Dans la vie, j'ai appris que c'est quand tout va bien qu'il faut faire de l'exercice, être sympa avec sa famille, classes ses photos.  Il ne faut pas attendre une crise majeure pour réorganiser sa vie.  La quête du bonheur commence ici et maintenant!