lundi 16 juillet 2018

Me souhaiter

Me souhaiter le droit à l’erreur.
Me souhaiter le droit à l’échec.
Me souhaiter de voir le positif dans chaque situation.

Me souhaiter de suivre mon cœur.
Me souhaiter de me tromper.

Me souhaiter le temps d’admirer le paysage.
Me souhaiter d’être dans les nuages parfois.


Me souhaiter d’arrêter d’avoir peur de demain.
Me souhaiter de profiter d’aujourd’hui.
Me souhaiter d’être fière de ce que j’accomplis.


Me souhaiter que le positif prenne plus de place que le négatif dans ma tête.

Me souhaiter de ne pas avoir peur de perdre ceux que j’aime.
Me souhaiter de profiter de tous les moments en leur compagnie.

Me souhaiter d’être entouré de gens qui apprécient vraiment qui je suis.

Me souhaiter le détachement au matériel.

Me souhaiter d’éliminer la jalousie de ma vie.

Me souhaiter la confiance en moi.

Me souhaiter de réaliser mes rêves.

Me souhaiter l’inspiration.

Me souhaiter le bonheur dans les petites choses.

Me souhaiter le meilleur pour moi et ceux qui m’entourent.

vendredi 18 mai 2018

Être reconnaissante

Des fois je réalise que je ne prend pas la vie du bon côté, que je vois seulement le négatif.
Des fois je suis un peu trop pessimiste et je me rend compte que c'est lourd pour les gens qui m'entourent.
Dernièrement, j'ai juste le goût de m'arrêter un moment et de porter mon attention sur ce qui va bien dans ma vie. De focuser sur le positif dans ma vie.
J'ai plein de raisons, que trop souvent j'oublie, d'être reconnaissante. Je suis en santé. J’ai un toit sur ma tête. Je mange à ma faim pour souper et mes enfants aussi. Je suis aimée et bien entourée.
J'ai la capacité de me remettre en question, de remettre les choses en perspective. J'ai la capacité de changer et d'évoluer comme personne, et ainsi devenir un meilleur humain.
J'ai envie de simplement dire je t’aime. J'ai envie de simplement dire merci. Dire merci à la vie...
Merci pour les moments passés avec ma famille, ce sont pour moi des moments importants. Ma famille c'est mon port, mon cap.
Merci pour ma sensibilité. Merci pour mon empathie envers les autres. Merci pour mon humilité. Ces qualités me permettent d'être à l'écoute des autres.
Merci de me donner le courage de dire ce que je pense. Et le privilège de vivre dans un pays qui reconnait la valeur des opinions.
Merci de me faire rencontrer des belles personnes à l’intérieur qui m'amènent à me questionner d'avantage sur le sens de la vie.
Merci de me mettre au défi parfois, pour me faire réaliser à quel point je peux être résiliente malgré les difficultés.
Merci pour mes deux beaux enfants qui sont en santé et qui donnent un sens à ma vie.
Merci de me donner la chance d’être une fille, une sœur, une amie, une mère. Autant de rôles qui façonnent la femme que je suis.
Merci de m'envoyer tous ce dont j'ai besoin, quand j'y pense je ne manque de rien.
Demain peut-être que ce sera une moins bonne journée et que je vais en vouloir à la vie d'être dure avec moi, alors, je reviendrai lire ces quelques lignes pour me rappeler que la vie au fond elle est bien faite.

jeudi 10 mai 2018

Saumon à l'érable et aux herbes salées du Bas-du-Fleuve

Un de mes plaisirs coupables est de m'acheter des revues de cuisine. Il en a plusieurs sur le marché, mais un que je possède tous les numéro est le magazine de Trois fois par jour.  Dans son numéro sur la quête de l'équilibre, elle nous propose un dossier avec des recettes sucrés-salés. Ceux et celles qui me connaissent bien, savent que ce n'est pas le mariage que j'aime le plus en cuisine.  Par contre, je cuisine souvent le saumon avec le sirop d'érable, alors je n'ai pas hésité à essayé cette recette. Ce plat est d'une simplicité parfaite pour les soirs de semaine et ne demande que 4 ingrédients. Bon appétit!

Ingrédients:

  • 2 c. à soupe d'herbes salées du Bas-du-Fleuve
  • 1/4 tasse de sirop d'érables
  • 2 c. à soupe d'huile d'olive
  • 4 filets de saumon avec la peau
Étapes: 
  1. Dans un bol, mélanger les herbes salées et le sirop d'érable et réserver.  
  2. Dans une poêle antiadhésive, à feu moyen-doux, faire chauffer l'huile d'olive et déposer les filets de saumon, le coté avec la peau vers le bas.  
  3. Badigeonner généreusement la chair des filets de saumon avec le mélange d'herbe et de sirop.  
  4. Couvrir et cuire de 8 à 10 min selon la grosseur des filets. 
  5. Servir avec des légumes verts au choix et du riz.


lundi 30 avril 2018

Plaque de porc à la grecque

La semaine,  j'aime bien avoir un menu déjà établie à l'avance, cela m'aide dans la préparation des repas, mais aussi de la liste d'épicerie. J'opte souvent pour des repas qui se cuisine rapidement. Cette recette provient de Cuisine futée. J'aime bien les repas qui se cuisine sur une plaque, on économise du temps sur la vaisselle ensuite.

Pour préparer la sauce au yogourt et à l’ail, mélangez dans un bol 250 ml (1 tasse) de yogourt grec nature et 2,5 ml (½ c. à thé) d’ail haché en pot. Poivrez généreusement et ajoutez une pincée de sel.

Pratique pour les repas en solo ou pour les grands groupes, cette recette se divise et se multiplie très facilement. Par contre cette recette ne se congèle pas, mais je suis certaine qu'il n'y aura pas de reste.

Ingrédients:
  • 1 filet de porc d’environ 450 g (1 lb) en tranches de 1,5 cm (½ po) d’épaisseur
  • 1 sac de 680 g (1 ½ lb) de pommes de terre grelots coupées en 4
  • 2 poivrons en gros cubes de 2,5 cm (1 po) de côté
  • 1 oignon rouge coupé en 8
  • 15 ml (1 c. à soupe) d’ail haché en pot
  • 30 ml (2 c. à soupe) d’huile d’olive
  • Le jus de 1 citron
  • Poivre et sel
  • 125 ml (½ tasse) de feuilles d’origan frais
Étapes:

  1. Préchauffer le four à 230C (450F). Placer la grille au centre du four. Tapisser une plaque de cuisson de papier parchemin.
  2. Déposer le porc, les pommes de terre, les poivrons et l’oignon sur la plaque.
  3. Ajouter l’ail et arroser d’huile et de jus de citron. Remuer avec les doigts pour enrober et bien répartir les ingrédients sur la plaque, poivrer généreusement et ajouter une pincée de sel.
  4. Cuire au four 45 minutes ou jusqu’à ce que la pointe d’un couteau s’insère facilement dans un grelot.Au moment de servir, garnir d’origan et accompagner de sauce au yogourt à l’ail, si désiré.


mercredi 11 avril 2018

Salade de jambon, pois chiches et fleurons de brocoli

Ici, on ne se complique pas la vie pour les dîners.
Souvent, ça se termine par les restes de la veille, un potage, une soupe, un sandwich ou encore, ce que j’aime le plus, une salade repas !
Ce midi je suis  régaler de ma salade de pois chiches.  Les pois chiches sont l’une de mes protéines préférées dans les salades-repas puisque ça ne demande aucun préparation si ce n’est que de bien les rincer  mais vous pourriez aussi bien les remplacer par les légumineuses de votre choix.  Même chose pour le fromage : essayez avec du cheddar fort, du brie ou encore du fêta
Une recette bien simple et complet.


Ingrédients:
  • 1 conserve (540 ml) de pois chiches 
  • 3/4 tasse de mini fleurons de brocolis
  • 3/4 tasse de tomates cerise coupées en 2
  • 1/2 échalote française hachée finement
  • 1/2 tasse de fromage cheddar doux
  • 1/2 tasse de jambon coupé en petits cubes
  • 3 c. à thé de mayonnaise
  • 1 c. à thé de sirop d'érable
  • 1 c. à soupe de vinaigre de vin rouge
  • Sel et poivre

Étape:
  1. Dans un petit bol, mélanger la mayonnaise, le sirop et le vinaigre.
  2. Dans un grand bol, mélanger tous les autres ingrédients. Ajouter la mayonnaise puis bien mélanger. Rectifier au besoin l'assaisonnement.






vendredi 6 avril 2018

Les traces du passé

Il y a des blessures tellement profondes qui, on dirait prennent plus de temps à guérir.

Plus jeune, j'ai été victime d'intimidation. 
Je n'en parle pas souvent, mais cette réalité fait partie de mon parcours, fait partie de moi.

Je ne veux pas nécessairement entrée dans les détails des gestes causés envers moi, je ne veux pas non plus joué à la victime.
Je me suis jamais défendu, j'en ai eu honte longtemps.
J'avais plus tendance à paralysée sur place.
J'aurais aimé être invisible, me fondre dans le décor, disparaître, ne pas exister...
Je ne comprenais pas qu'on s'en prenne à moi.
Je ne savais pas ce que je fesais de correcte.
On me détestais pour qui j'étais.

Les mots, les gestes ça fait mal d'une brutalité, des cicatrices qui meurtrit l'âme.
Certains sont encore présent dans ma tête quand je retourne revisité mon passé.

Longtemps, je n'ai pas voulu déranger.
Je ne voulais pas prendre beaucoup de place, je me fesais toute petite.
J'imagine que j'agissait ainsi par mécanisme de défenses.
Encore aujourd'hui, je me met parfois en retrait.
Le pire c'est que j'agis ainsi sans vraiment m'en rendre compte, on s'habitue à ne pas prendre sa place...
J'imagine qu'en agissant de la sorte, je me sens en sécurité.

M'exposer me demande beaucoup de courage.
J'ai l'impression de me mettre en danger, mes peurs prennent le dessus.
Peur de me faire juger, peur de ce que les autres vont penser de moi, peur de me faire rejeter.
Tellement de peurs qui appartiennent à mon passé.

C'est moins pire dans ma vie d'adulte.
Je n'ai pas subi d'intimidation depuis.
Mais mes patterns, proviennent tous de ce moment de ma vie d'enfant.
Il faut sans cesse que je casse ces mécanismes de défenses pour sortir de mon isolement.
Quand je vous dit qu'apprendre à m'aimer a été ma porte d'entrée sur plein de choses, ça m'a permis, entre autre de faire la paix avec cette partie de ma vie.



Ça parait facile de dire qu'il a suffit de s'aimer pour casser le cycle de l'intimidation, mais m'aimer m'a permis de mettre une limite et de ne pas laisser personne me traiter de la sorte.

Cette blessure a laissé sur moi des marques profondes dans ma tête et dans mon cœur c'est certain.
Elle dicte encore quelque fois mes pas et mes pensées.
Juste y penser quelque fois est suffisant pour faire monter l'anxiété et l'angoisse chez moi.
J'ai juste appris à vivre avec cette réalité, appris surtout à me rassurer.
Maintenant, je le sais, personne ne peut me traiter ainsi, et si, une personne dépasse la limite, je prend mon courage et j'explique à la personne comment je me sens, ce que ces propos réveille en moi.

Mais si vous voyez que je m'isole parfois, n'hésitez pas à me sortir de ma solitude.


jeudi 22 mars 2018

Anxiété synonyme d'un manque d'amour

L'anxiété c'est difficile à contrôler.
Ça te pogne dans le ventre.
C'est des discours interne tellement négatif.
"T'es une bonne à rien"
"Tu y arrivera jamais"
"Tu vas perdre ta job... ta maison... ton chum..."
L'auto-sapotage qui ne fini plus de finir pendant les crises envers toi-même.

L'anxiété ça s'accumule.
C'est sentir que tout vas exploser si tu ne fais rien.
Mais tu es incapable de faire quoi que ce soit parce qu'elle te paralyse sur place, te plonge dans l'inaction.

L'anxiété c'est tenir le coup toute la journée et être complètement vidée à force d'avoir essayer de garder la tête hors de l'eau juste pour que les autres pensent que tu es normal.

L'anxiété c'est voir sans porter attention vraiment à ce que tu vois.
C'est se coucher mais être incapable de récupérer à force de faire de l'insomnie.
C'est se réveiller fatigué, vidé intérieurement.
C'est le petit hamster dans ta tête qui n'arrête jamais, te faisant croire à des scénarios impossibles.

L'anxiété c'est l'impression constante de passer à côté de quelque chose.
C'est avoir l'impression que ta vie t'échappe à force d'avoir peur de tout.

L'anxiété c'est douter de soi, des autres aussi.
C'est douter de ses décisions et de ta valeur comme personne.

L'anxiété pour moi c'est un manque d'amour envers soi-même
C'était un manque de confiance en moi.

Même si l'orage c'est calmer un peu à l'intérieur de moi.
Même si l'anxiété m'habite moins souvent, je la sens jamais très loin derrière.
C'est un combat constant dans ma tête pour ne pas lui accorder trop d'importance et pour garder le contrôle sur ma vie.

À force de reconnaître ma valeur
À force de reconnaître l'importance que j'ai
À force d'arrêter de me dire des choses tellement horrible que je ne l'ai dit même pas à ma pire ennemi.

L'anxiété c'est rien.
Elle se nourrit de ce qui nous habite.
Elle s'accroche parce que l'on croit à ces histoire qu'elle nous invente.
Mais lorsque l'on arrête de lui accorder de l'importance, quand on sait reconnaître son petit jeu.
L'anxiété c'est rien.


J'aime bien me rappeler que je ne suis pas mes pensées, donc que je ne suis pas mon anxiété.


lundi 19 mars 2018

Poulet et légumes braisés à la bière

  • L'hiver j'aime bien les plats réconfortant, les plats qui font qu'on se rassemble et qui éloigne l'hiver. C'est une recette « du dimanche » que je vous suggère fortement de doubler si vous voulez en congeler un peu pour l'hiver qui ne veut pas partir. C'est toujours le fun d'avoir des repas maison qui nous attendent dans le congélateur. 

  • Ingrédients

  • 8 hauts de cuisses de poulet désossés
  • 1 cuillère à table d' huile d'olive
  • 1 oignon coupés en gros dés
  • 4 petites carottes
  • 1 petit navet coupé en batonnet
  • 6 petites pommes de terre 
  • 1 1/2 tasse de bière rousse
  • 3 cuillères à table de sirop d'érable
  • 1 cuillère à table de moutarde à l'ancienne
  • 1/2 tasse de bouillon de poulet réduit en sel
  • 4 brins de thym frais
  • sel et poivre

Préparation
  1. Saler et poivrer les hauts de cuisses de poulet. Dans une cocotte ou un grand poêlon allant au four, chauffer l'huile à feu moyen-vif. Ajouter la moitié des hauts de cuisses et cuire pendant environ 8 minutes ou jusqu'à ce qu'ils soient dorés (les retourner à la mi-cuisson). Réserver dans une assiette. Cuire le reste du poulet de la même façon.
  2. Retirer le gras du poêlon, sauf 1 c. à tab (15 ml). Ajouter les oignons, le navet, les carottes et les pommes de terre. Cuire à feu moyen pendant 5 minutes ou jusqu'à ce que les légumes soient dorés (les retourner à la mi-cuisson). Réserver avec le poulet.
  3. Verser la bière en raclant le fond pour détacher les particules, pendant 2 minutes. Ajouter le sirop d'érable, la moutarde, le bouillon de poulet et le thym. Saler et poivrer. Mélanger et porter à ébullition.
  4. Ajouter le poulet et les légumes réservés dans la cocotte et mélanger. Couvrir et cuire au four préchauffé à 350°F (180°C) pendant 1 heure  Retirer le couvercle et cuire encore 15 minutes ou jusqu'à ce que les légumes soient tendres. (Le poulet se conservera jusqu'à 2 jours au réfrigérateur ou jusqu'à 1 mois au congélateur.)

mercredi 7 mars 2018

Le jour où je me suis aimé pour vrai

L'amour de soi, c'est ce qui devrait prendre le plus de place dans nos vies. Et comme ce n'est pas toujours facile (pour moi), je vous partage un texte, qui dans mes périodes de doute face à moi-même m'aide beaucoup. Lorsque je serais en mesure de maîtriser tous ce que ce texte nous révèlent à propos de l'amour de soi, je pourrais dire que je m'aime sans condition. En entendent, je continue de le relire encore et encore dans les moins bonnes journées. En espérant que ce texte vous parle autant qu'à moi.



"Le jour où je me suis aimé pour vrai, j'ai compris qu'en toutes circonstances, j'étais à la bonne place, au bon moment. Et, alors j'ai pu me relaxer.

Aujourd'hui, je sais que ça s’appelle l'estime de soi.

Le jour où je me suis aimé pour vrai, j'ai pu percevoir que mon anxiété et ma souffrance émotionnelle, n'étaient rien d'autre qu'un signal lorsque je vais à l'encontre de mes convictions.

Aujourd'hui, je sais que ça s’appelle l'authenticité.

Le jour où je me suis aimé pour vrai, j'ai cessé de vouloir une vie différente et j'ai commencé à voir que tout ce qui m'arrive contribue à ma croissance personnelle.

Aujourd'hui, je sais que ça s'appelle la maturité.

Le jour où je me suis aimé pour vrai, j'ai commencé à percevoir l'abus dans le fait de forcer une situation, ou une personne, dans le seul but d'obtenir ce que je veux, sachant très bien que ni la personne ni moi-même ne sommes prêt et que ce n'est pas le moment.

Aujourd'hui, je sais que ça s'appelle le respect.

Le jour où je me suis aimé pour vrai, j'ai commencé à me libérer de tout ce qui ne m'était pas salutaire, personnes, situations, tout ce qui bessait mon énergie. Au début ma raison appelait ça de l'égoïsme.

Aujourd'hui, je sais que ça s'appelle de l'amour propre.

Le jour où je me suis aimé pour vrai, j'ai cessé d'avoir peur du temps libre et j'ai arrêté de faire de grand plans, j'ai abandonné les méga les méga projet du futur. Aujourd'hui, je fais ce qui est correct, ce que j'aime, quand ça me plait, à mon rythme.

Aujourd'hui, je sais que ça s'appelle la simplicité.

Le jour où je me suis aimé pour vrai, j'ai cesser de chercher à toujours avoir raison et je me suis rendu compte de toutes les fois où je me suis trompé

Aujourd'hui, j'ai découvert l'humilité.

Le jour où je me suis aimé pour vrai, j'ai cessé de revivre le passé et de me préoccuper de l'avenir. Aujourd'hui, je vis au présent, là où toute la vie se passe.

Aujourd'hui, je vis une seule journée à la fois, et ça s'appelle la plénitude.

Le jour où je me suis aimé pour vrai, j'ai compris que ma tête pouvait me tromper et me décevoir, mais si je la mets au service de mon coeur, elle devient un allié très précieux."

Texte de Kim McMillen

dimanche 4 mars 2018

En tournage avec Marie-Pier Giasson

Ici c'est la semaine de relâche qui se termine. En début de semaine, William a été invité par la belle Marie-Pier Giasson, auteure des livres jeunesses Luna il suffit d'y croire Tome 1 et 2, à tourner une capsule pour sa chaîne youtube.
L’image contient peut-être : 2 personnes, personnes souriantes, intérieur Dans l'univers de Luna il suffit d'y croire, William a réalisé une recette de pâte à modeler maison. Je vous laisse les ingrédients nécessaires et les étapes de réalisation juste ici:

Ingrédients:
  • 1 tasse de sel
  • 2 tasses de farine
  • 1 tasse d’eau
  • 3 cuillères à table d’huile végétale 
  • Colorant alimentaire pour obtenir la couleur désirée

Veuillez noter qu’il est possible que les quantités aient besoin d’être ajustées puisque la marque ou la durée de vie des produits utilisés peuvent influencer les interactions entre les ingrédients.

Étapes:
  1. Mettre le sel et la farine dans un bol.
  2. Ajouter l’eau et l’huile en remuant constamment pour obtenir une pâte homogène et lisse.
  3. Diviser la pâte en portions.
  4. Ajouter quelques gouttes de colorant alimentaire à chaque portion pour colorer la pâte et bien pétrir.
  5. La pâte peut être conservée dans un plat ou un sac hermétique.

Vous pouvez essayer la même recette en ajoutant le colorant à l'eau pour obtenir une couleur plus uniforme.
Will a beaucoup aimer son expérience de tournage et il prévoit faire de la pâte à modeler maison pour sa soeur lorsqu'elle sera plus grande. Je vous invite à vous abonner à sa page.

vendredi 23 février 2018

Compoté de poivrons


Mon amoureux et moi on aime bien écouter la radio de Radio-Canada. Ben oui, on est plate de même, mais on s'assume totalement. Et puis par un samedi à la fin du mois de janvier on écoutais On n'est pas sorti de l'auberge en revenant du Hockey. Cette recette nous a donnée l'eau à la bouche et comme on avait acheté un gros sac de poivrons dans la section des légumes "ventes rapides" on n'a pas hésité à la cuisiner. Ce soir là, nous l'avons servi avec des pâtes, mais nous l'avons servi en formule tapas sur un croûton de pain avec du fromage de chèvre, lors d'un autre souper. Un plat végétarien vraiment délicieux !



Ingrédients:


  • 2 gros oignon haché
  • 1/3 tasse d’huile d’olive
  • 2 boîte de tomates pelées, en dés, égouttées
  • 1 pot de 250 ml de poivrons rôtis et taillés en dés
  • 8 poivrons coupés en gros dés (peu importe la couleur)
  • Sel et poivre

Étapes: 

  1. Dans un faitout, faire suer les oignons et les poivrons dans l’huile d'olive environ 10 minutes, puis ajouter les tomates et les poivrons.
  2. Faire mijoter la préparation à feu douc pendant 1 heure.
  3. Ajouter le sirop d’érable et assaisonner le tout.
  4. Conserver la compotée au réfrigérateur.

vendredi 16 février 2018

Maman avant tout...

Je suis une maman avant tout.
Être une maman c'est de loin le plus beau rôle de ma vie, mais c'est aussi le plus difficile.
C'est aimer tellement fort.
C'est s'inquiéter 24 heures sur 24 pour mon poupou et ma poupoune.


Être une maman c'est prendre soin d'eux quand ils sont malade.
C'est dormir des nuits courtes.
C'est parfois des nuits blanches, bref c'est dormir moins.
C'est être fatigué à la fin de la journée et être couché parfois à 9h le soir.

Je suis une maman avant tout.
Être une maman, c'est souhaiter partir une fin de semaine, mais s'ennuyer terriblement.
C'est penser à eux tout le temps.

Être une maman, c'est vouloir les protéger de tout.
C'est d'avoir peur qu'il leur arrive quelque chose ou qu'une personne leur fasse du mal un jour.
C'est vouloir donner ma vie pour eux, pour qu'il soit en sécurité.

Je suis une maman avant tout. Je m'oublie souvent pour mes amours.
Être une maman, c'est manquer de temps pour soi.
C'est avoir peu de temps pour me coiffer, me maquiller ou pour m'entraîner.
C'est douter de soi, douter de mon rôle de maman.

Être une maman, c'est aussi culpabiliser sans arrêt.
C'est se demander constamment si on fait les choses correctement.
C'est avoir une maison qui n'est pas toujours "spick and span".

Je suis une maman avant tout.
Être une maman, c'est un privilège.
C'est le miracle de la vie que nous portons, chérissons.
C'est un défi, une responsabilité tellement grande.

Je suis une maman avant tout.
J'ai parfois de la difficulté à me souvenir la fille que j'étais avant d'être maman.
Mais être une maman, c'est ma plus belle réalisation de femmes.
Mes enfants sont ma plus grande fierté et ma raison de me lever chaque matin.

mercredi 14 février 2018

Le riz de mon enfance

Cette recette me rappelle très certainement mon enfance. Je ne l'avais pas cuisiner depuis que je suis parti de la maison. Tout le monde à adoré ici et il nous en a resté assez de restant pour les lunchs, ce qui est très pratique. J'aime aussi le fait que le tout se cuisine dans un seul chaudron, ce qui réduit la quantité de vaisselle. La recette nécessite peu d'étape de préparation et est très facile à réaliser. 


INGRÉDIENTS:

  • 2 c. à soupe (30 ml) d’huile d'olive
  • 1 lb (450 g) de bœuf haché
  • 1 oignon jaune, émincé
  • 1 zucchini coupé en dés
  • 1 branche de céleri, en petits dés
  • 1 carotte coupé en deux et en tronçons.
  • 2 gousses d’ail, hachées
  • 1 boîte (19 oz / 540 ml) de tomates, en dés
  • 1 ½ tasse (375 ml) de riz basmati
  • 1 tasse (250 ml) de bouillon de légumes
  • ¼ tasse (60 ml) de sauce soya
  • Sel et poivre du moulin, au goût.
PRÉPARATION
  1. Dans une grande poêle antiadhésive, à feu élevé, verser l’huile et faire cuire les légumes jusqu’à ce qu’il commence à être translucide. Ajouter le bœuf, et poursuivre la cuisson 8 minutes.
  2. Verser les tomates, le riz, le bouillon et la sauce soya. Porter à ébullition, puis baisser à feu doux et laisser cuire à couvert 20 minutes. Saler et poivrer, au goût.

vendredi 2 février 2018

Oser

Définitivement mon mot de l'année!

Je n'aime pas trop prendre des résolutions en début d'année, de toute façon je les tient rarement plus de deux semaines. J'aime mieux me lancer des défis. Un défi pour continuer de travailler sur moi et pour me permettre d'évoluer.

Oser parce que je suis plus du genre conservatrice. Je suis plutôt bien dans mes pantoufles. Je dirais même que j'ai la raison facile. J'en ai toujours une de prête pour expliquer mon inaction.



Oser pour me laisser porter par le courant, pour voir ce que la vie me réserve. Aussi pour me sortir de ma zone de confort. J'ai conscience que je me bloque parfois par mes peurs, mais déjà de le conscientiser m'aide à me bouger les fesses... Je veux être capable d'oser pour ne pas accepter le statu quo d'une situation que je veux changer. 

En 2018, je veux me mettre (un peu) en danger. Je trouve que j'ai le confort facile. Je n'aime pas trop me mettre en danger de peur de ne pas être à la hauteur.

Oser pour me garder en vie.
Oser pour me garder focus sur ce que je veux vraiment.

Trop souvent j'attend et bien cette année je veux oser passer à l'action pour changer, grandir, évoluer tant sur le plan professionnel que personnel.

lundi 29 janvier 2018

L’œuf qui rebondit

Mon grand aime bien faire des expériences. En fin de semaine, à travers les pratiques de hockey et tout le reste, nous avons fait l'expérience de l’œuf qui rebondit. Le défi de la fin de semaine : faire rebondir un œuf … À première vue, on a plutôt l’impression que c’est débile. Will m'a dit comment on va faire ça, l’œuf va se casser... Et bien non, l’astuce, c’est de plonger l’œuf dans du vinaigre. En mettant l’œuf dans le vinaigre, j'ai demandé à Will s'il croyait que l’œuf allait rester intact. Son hypothèse était que l'oeuf deviendrait comme un œuf à la coque! Pas fou puisque l’œuf allait passer beaucoup de temps dans le vinaigre.

Matériel:
  • un œuf cru
  • un contenant transparant
  • du vinaigre blanc
L'expérience étape par étape:

  1. Déposer l'oeuf dans le contenant transparent.
  2. Remplissez le contenant de vinaigre blanc et laissez tremper pendant 24h.
  3. Observez l’évolution de l’œuf : très vite, la coquille se recouvre de plein de petites bulles de CO2. Après 12h, Will remarque qu'il y a de la mousse sur le dessus du vinaigre et que l'apparence de l’œuf commence à changer graduellement.
  4. Le dimanche soir, nous avons retirez l’œuf du verre et j'ai demandé à Will de laisser tomber l’œuf dans l'évier d'une hauteur de 3 ou 4 cm. On dirait que l’œuf est en caoutchouc.
  5. C’est parce que l’acide du vinaigre a dissout le calcium qui rend la coquille dure.
  6. Attention de ne pas faire rebondir l’œuf trop haut, puisque l'intérieur de l’œuf est encore liquide. Will en a eu la surprise de constater que l’œuf s'est détruit dans l'évier et que finalement l'intérieur de l’œuf n'était pas cuit comme un œuf à la coque!

Astuces: Pour que l’expérience soit plus évidente pour les jeunes enfants, vous pouvez comparer en plongeant un autre œuf dans de l’eau.